Chapitre 3 Servante d'un démon

Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent au créateur de Naruto, Masashi Kishimoto. 

29 mai

22h 20

Salut mon ami, alors, je t’ai laissé sur ta faim hier soir. Je te dirai que le souper a été catastrophique. Je ne voudrais même pas m’en rappelé, mais il faut que je te décrive cette pénible soirée, car sinon je ne pourrai pas continuer ma fabuleuse histoire qu’est ma vie. Je pense que si tu pouvais me mordre, tu le ferrais si je ne la continuerais pas.

Alors, toutes les concurrentes et moi attendîmes jusqu’à 7h du soir. Bien sûr, nous ne restâmes pas les bras croisé. J’ai dû défaire mes bagages qui, soit dit en passant, n’ont presque rien à l’intérieur, à part quelques mangas, jeux vidéo, boxers et T-shirt. Ne me regarde pas comme ça! D’accord tu dois me prendre pour un fou. Son journal a un visage? Non tu n’en as pas, mais je sais que si tu en avais un tu me regarderais avec un sourire en coin. Oui j’ai apporté des jeux vidéo et alors? J’ai bien le droit de me détendre de temps en temps même si j’ai oublié un détail très important. La console. Je n’y avais pas pensé sur le coup, mais sans la console, les jeux ne sont qu’un disque inutile. Ensuite, vu que j’avais acheté un rouge à lèvres à la supérette avant de venir, je me maquillai un peu. Bon j’ai presque rien à mettre sur mon visage, mais réfléchit deux secondes. Quand une personne doit faire quelque chose de nouveau qu’elle n’a jamais fait avant, sa prend beaucoup de temps. Beaucoup de temps. Après, je reçu ma robe et je l’ai mise avec beaucoup de difficultés. La personne qui est venu me porter ma robe, me dit de me rendre à la cuisine principale vers 7h. Elle me dit que je prenais le premier couloir à ma gauche et que je tourne ensuite à droite sur le deuxième couloir. Après je continue juste tout droit et j’atteins la pièce. Comme tu dois t’en douter, je me suis perdu et pas juste un peu. En plus, j’ai foncé dans un mur et dans un chandelier que j’ai cassé au passage. T’imagine, un chandelier ! Il doit valoir une fortune. Jamais je ne pourrai le remplacer, alors je l’ai pris et je l’ai mis dans une planque ultra secrète où personne ne peut le trouver, c’est-à-dire derrière un rideau. J’ai ensuite essayer de trouver quelqu’un pour lui demander mon chemin, mais bien évidemment, il n’y avait personne. J’ai dû réfléchir pour trouver un moyen contre ce fâcheux problème. Un fantôme passa, puis deux, puis au troisième j’eu ma claque et je me suis dit qu’il fallait que je me dépêche. J’ai finalement pu trouver la salle tant convoité. Je poussai la porte de la salle et je me suis figé en apercevant une créature venu d’un autre monde. Des cheveux couleur cendrent aux reflets bleutés. Des yeux qui nous font plonger dans une nuit sans étoiles et un teint telle une poupée de porcelaine. Deux mèches de couleur corbeau encadrants son visage qui envoute chaque personne qui croise son chemin. J’étais hypnotisé jusqu’à tant que j’entende une voix qui m’appelle au loin.

-Na…o ! Naruto vient t’assoir déjà que tu es en retard.

Hinata me sorti de ma transe. Je pu, ainsi, échapper au gouffre sans fond de ces yeux ténébreux. Hinata est une concurrente avec qui je me suis lié d’amitié. Elle est très timide et innocente comme un agneau. Elle a aussi un physique avantageux, je dirais même TRÈS avantageux et je suis sûr que tu m’as compris mon cher journal. Je n’avais même pas remarqué la décoration de la salle où j’étais, ni même l’habillement de mon beau apollon. La salle était aux couleurs argent et rouge sang un peu comme le reste du manoir. Il y avait une table d’environ vingt mètre qui surplombait au centre de la pièce. Sur un tableau au fond de la pièce nous pouvons apercevoir un éventail rouge et blanc, surement le symbole de la famille. Peut-être ne le sais-tu pas encore, mais moi aussi j’ai un symbole qui me représente. C’est un tourbillon orange. J’ai voulu le mettre sur ma tenue mais j’ai décidé de tourné la page une bonne fois pour toute. Bon revenons à nos moutons. L’homme venant d’un autre monde était habillé d’une chemise blanche avec un ruban noir attaché autour de son cou. Il avait un piercing à l’arcade sur ciliaire. Il portait du vernis à ongle noir contrastant avec sa peau laiteuse. L’ange déchu était assis sur le côté gauche de l’immense table. Juste à ses côtés, il y avait un garçon plus vieux lui ressemblant. Celui-ci avait une queue de cheval qui pendait dans son dos. Lui aussi portait une chemise, mais noir. Il l’avait ouverte pour laisser entrevoir son cou où on peut apercevoir un tatouage en forme d’éventail rouge et blanc. J’ai remarqué un homme et une femme de l’autre côté de la table. Ce sont surement leurs parents, car ils sont vieux. Je n’ai rien dit de méchant sur eux, mais ils ne sont plus tous jeunes. Je remarquai que tout le monde n’attendait plus que je m’assisse sur des chaises sur le côté du mur. Par la même occasion, je remarquai que toutes les personnes pour le poste de servante étaient assissent au bout de la table.

- Maintenant que tout le monde est réuni, nous pouvons commencer la soirée. Pour commencer, vous avez tous fais du bon travail. Toutefois, il faudra des vainqueurs et des perdants, nous dit Deidara.

J’étais stressé, je ne savais que faire si jamais le résultat était négatif. Devrais-je essayer un autre emploi? Que faire pour limiter mes dépenses alors que j'ai déjà une vie suffisante ? Plus je réfléchissais, plus l’angoisse montait au point où mes mains tremblaient.

- Je vais vous révéler les résultats qui changeront votre vie à jamais. J'exagère juste un tantinet, car, très souvent, quand vous entrez dans la famille, vous n'y sortez bien souvent jamais. Il y a juste quelques personnes, se comptant sur une main, qui ont réussi à sortir du milieu familial et cela, vivant.

Oh mon dieu ! Qu’est-ce qui nous raconte celui-là ? Mourir pour avoir quitté son emploi ? Je crois que si je n’avais pas été aussi désespérer, j’aurais pris mes jambes à mon cou.

- Bien alors les personnes qui devront nous quitter sont Ino, Sakura, ...

Il nomma bien d'autres filles dont je me souviens plus le nom. Le reste des personnes non-nommer passeraient à la suite de l'épreuve.

- La seconde épreuve commencera demain. Vous devrez réveiller les personnes qui vous serons attitrées, faire leurs petits déjeuners et aussi les assister dans leurs travail pendant la journée.

Même si au départ nous étions beaucoup nous ne sommes plus que quatre. Hinata, moi, une certaine Tenten et une autre dont j'ai encore oublié le nom. Oui j'ai une mémoire de poisson rouge. Bien sûr, après, Deidara nous confia a chacune une personne pour notre deuxième épreuve. Moi, j'eu une certaine Mikoto. Je vais devoir te laissé mon cher ami. Je pars au pays de rêves, car je me lève, ENCORE, très tôt.

30 mai

4h30

Je me levai à 4h30 du matin pour me faire une beauté. 4h30 ! Ils sont juste une bande de malades mentaux. Qui se lève à 4h30 ? J’ai dû me lever tôt pour pouvoir faire le déjeuner et réveiller Mikoto. J'ai bien sûr dû lire une description très détaillé de la personne que j’ai à ma charge. Je ne te dis même pas la longueur du texte. Tout y était, même la taille de ses seins ! T'imagine pas la rougeur que j’ai eue quand j’ai vue leur taille. Je me demande comment je vais faire pour la regarde sans plongé dans son décolleter. Bien sûr, j'ai trouvé les résultats dont j'avais besoin pour le déjeuner. Elle aime beaucoup la cuisine française et la cuisine américaine. J'ai, donc, décidé de faire un mélange des deux. Je lui fis deux œufs brouillé que je mis entre eux tranche d'un bagels. Mikoto est végétarienne, mais elle mange des œufs. Alors, je mis des tomates et de la salade. Je transformai des fruits en fleurs majestueuse. Ne fais pas l’innocent cher journal, c’est mignon et sophistiquer de manger des fruits en fleurs le matin. J’allai réveiller madame Uchiwa, jusqu'à ce que j'entende des éclats de voix. Je n’y fis pas attention quand tout à coup, un objet se fracassa contre la rembarre de l'escalier. Cet objet volant non identifié venait d'une chambre au fond, juste devant l'escalier qui en subit les frais. Je décidai d'intervenir et d'aller arrêter ce boucan avant qu'il arrive quelque chose de plus dramatique. J'entrais dans cette chambre où régnait une ambiance pesante et étouffante. C'était mon bel apollon qui s'est levé du pied gauche. Non je n’ai jamais dit «mon». Malgré toute la beauté de cet être, je me redis vite compte que c'est juste un petit arrogant. Il criait comme ce n’est pas permis contre cette fille qui n'avait rien fait. Je crois qu'elle s'appelle Temari.

- Non mais tu te crois où ? Tu crois que c'est en me sautant dessus comme une cinglée que tu vas me réveiller, dit le petit arrogant ?

- Monsieur vous ne vous réveiller pas, j'ai dû alors utiliser les grand moyen, nous dit la courageuse Temari.

- Tu es renvoyé salope, tu n’es pas capable de travailler correctement.

C’est quoi cette histoire ? Elle lui a sauté dessus ? Je n'y en crois pas un mot. Et puis, même si c'est le maître il n'a pas le droit d'abuser de ses servantes. Ça ne se fait pas de nos jours ! Enfin dans un sens, les soubrettes n’existent plus vraiment. Le sang en ébullition, les joues rouges et le regard perçant. Une phrase retentit dans la pièce.

- Qu’est-ce que tu as dit petit avorton?

Oups, je crois que j'ai parlé à voix haute. Oui, tu as bien compris mon petit journal, j'ai vraiment parlé à voix haute et j’aurais mieux fait de me taire. Je crois que c'est la plus grosse bêtise que jamais faite de vie. Ce cher Sasuke, tel est le nom de cet Apollon un tantinet bâtard sur les bords, me dit mot pour mot ;

- Si tu te crois si meilleur, pourquoi ne la remplace-tu pas ?

Tu me connais bien, cher journal, et tu dois t'attendre à la réponse qui suivie, vu mon impulsivité.

- Je vais vous faire avaler votre arrogance par tous vos orifices.

Il me répondit qu'il avait bien hâte de voir ce que j'éprouvais faire avec ma tête d’épouvantail. Bien sûr, sans oublier le sourire en coin et le regard hautain. J'étais si fâché et obnubiler par le fait de lui fermer son caquet que je ne me rendis pas compte de la situation dans laquelle j'étais. J’avais frappé la tête de ce Sasuke avec ma tête et je lui avais répondu ; voilà ce que je peux faire avec ma tête connard ! Ce n’est qu’après que je me rendis compte que j’étais dans la merde. Une belle merde grosse et fumante.

Le concours continue et j'ai dû subir les conséquences de mon impulsivité. J’ai frappé un Uchiwa pour qui je travail, je le rappel. Deidara a cru bon, je ne sais pas comment, que je devais m’occuper maintenant de Sasuke. Bien sûr, j'avais déjà préparé le déjeuner de madame Uchiwa, toutefois j’ai dû changer de maître avec ce qui s’est passé ce matin. Je n'arrive même pas à croire que je l'appelle maître ou même que je le considère comme tel. Bref j'ai dû échanger les déjeuners pour qu'ils soient conforme à la personne désigné comme étant notre souffre douleurs pour les prochaines années, si bien entendu, on réussit le test .Temari a dû aller réveiller Mikoto, pendant que je faisais l'échange des repas tel un Ninja faisant une mission d'une importance capital. J'ai goûté par la même occasion le repas de Tamari et il était trop simple à mon goût. Quand on est un champion des émissions de cuisine, on veut que nos repas soit sophistiqué, dit la personne qui mande es nouilles instantanées tous les jours. J’ajoutai des épices pour ajouter du goût au riz. Je coupai des échalotes en petits morceaux que j’éparpillais dans l’assiette pour ajouter de la couleur. Je vis arriver le garçon avec la couette de cheval, si je me souviens bien, son nom est Itachi. Je vis ensuite arriver Mikoto et son mari. Puis, je vis mon beau et bâtard, Sasuke, se placer à la table. Je plaça le plant fumant devant mon nouveau «maître» et attendit sa réaction. Il ne fit aucune remarque. Même pas un «c’est bon» ou un « c’est dégueulasse !», non il ne fit aucun commentaire. Il se leva et me dit d’être prêt dans trente minutes pour l’accompagner à son école. Je te laisse ici, cher journal, je dois me préparer sinon monsieur je m’appelle Sasuke et je suis un roi va me crier dessus et adieu mon poste de servante.